CHOCOLATREE
L'imagination au fil des saisons !
Depuis le 1er octobre 2012, la société Chocolatree installée à Bons-en-Chablais, crée des décors en chocolat pour les professionnels du monde de la pâtisserie et de la chocolaterie. Dynamique et innovante, cette jeune entreprise apparaît comme un créateur de décors en chocolat haut de gamme.
Suite au rachat d’une filiale de France Décors qui commercialisait des décors alimentaires depuis 1952, cette nouvelle PME a choisi de se concentrer uniquement sur l’activité chocolat. C’est à travers la sérigraphie en beurre de cacao que la société « Chocolatree » met son savoir-faire au service des professionnels de la boulangerie, pâtisserie, chocolaterie, biscuiterie, glacerie ainsi que de la restauration pour valoriser leurs créations et pâtisseries grâce à deux collections annuelles.
Innovation technique
L’entreprise de Haute-Savoie se développe à travers de nombreuses innovations comme lors du Sirha 2013 à Lyon avec le chocolat lumineux, une innovation technique mondiale mise au point par Pascal Brunstein, Meilleur Ouvrier de France, ou encore avec le « Décotendre », une feuille de chocolat souple imprimée qui permet une finition rapide et esthétique des pâtisseries. Pour Benoît Terris, dirigeant de la société, les consommateurs actuels sont en attente de nouveaux décors en pâtisserie et en chocolaterie. « Le chocolat offre de vastes possibilités : chocolats personnalisés, supports de communication gourmands pour nos clients comme des cartes de visite en chocolat… »
Export, moteur de la croissance
La plus forte activité de l’entreprise s’étend d’octobre à mars, pendant la préparation des fêtes de Noël et de Pâques. La partie export représente 40 % du chiffre d’affaires de la société Chocolatree. « Vendre à l’exportation est l’un de nos moteurs de croissance. La plupart de nos références sont livrées en Europe, aux États-Unis, en Asie et aux Émirats Unis ».
De nouveaux marchés à exploiter
Jusqu’à présent, l’entreprise « Chocolatree » travaillait uniquement avec des professionnels mais pense, dès à présent à s’ouvrir à de nouveaux marchés. « Nous sommes sur un marché de niche mais la concurrence est internationale. Il nous faut atteindre une taille critique minimale. 3 millions d’euros de chiffre d’affaires, c’est une coquille de noix. 10 millions d’euros, c’est un petit bateau sur l’océan de la mondialisation », conclut Benoît Terris.
Jean-Pierre Deloron